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Pourquoi se syndiquer ?

Individuellement, être syndiqué·e, c'est être informé·e de ses droits, des salaires en vigueur, bénéficier de conseils juridiques, de l'intervention du syndicat en cas de conflit, et de conseils juridiques en cas de recours prud’homal.

Si vous souhaitez vous investir dans la vie du syndicat, vous pouvez venir aux réunions du Conseil national qui sont statutairement toujours ouvertes aux adhérent·es, et le syndicat ou la Fédération organisent chaque année des formations pour celles et ceux qui le souhaitent.

 

Vous pouvez aussi demander à participer aux négociations de branche (cinéma, audiovisuelle, prestation technique, animation, édition phono, etc) ou aux groupes de travail internes au syndicat et à la Fédération
CGT du Spectacle (assurance chômage, mixité-égalité professionnelle, délocalisation, réforme de l’agrément, etc).

Adhérer ou soutenir le SPIAC-CGT c'est apporter une pierre à la défense et à la promotion de nos métiers.

Si vous souhaitez vous engager plus encore, des représentant·es du SPIAC-CGT sont mandaté·es par le Conseil national dans plusieurs commissions paritaires de notre secteur (commissions AFDAS, AUDIENS,CPNEF, etc…).

 

Collectivement, cela signifie défendre et conquérir nos droits, comme ce fut le cas de la Convention collective de la production cinématographique, signée en 2012, qui organise les conditions de travail et de rémunération pour le long-métrage, court-métrage et le
film publicitaire.

Cette convention a été étendue en 2013, et son application est donc devenue obligatoire à tous les producteur·rices.

 

Elle permet aujourd’hui de réguler un secteur là où un trop petit nombre de producteur·rices respectaient la Convention de 1950, et nous restons encore aujourd’hui vigilant·es quant à son application tout en continuant à faire des propositions pour améliorer encore et toujours les salaires et conditions de travail des salarié·es du secteur.

Collectivement, cela signifie aussi être présent·e et apporter notre soutien aux salarié·es en lutte comme on l’a vu récemment chez Éclair ou France Télévision dans nos secteurs, ou plus largement comme ce fut le cas lors des nombreuses manifestations contre la loi El Khomri, les ordonnances Macron, ou les réformes successives de l’assurance chômage et des retraites.

Une organisation syndicale composée d'ouvrièr·es et
de technicien·nes bénévoles

La passion et la fierté que peuvent susciter nos métiers ne contrebalancent pas toujours la précarité à laquelle nous sommes confrontés quotidiennement :

– Le non-respect des conventions

– La pression sur les salaires, les horaires de travail dépassant fréquemment les maximums légaux (12h/jour, 48h/semaine).

– L’absence de visibilité sur le long terme.

– Le recours abusif aux stagiaires

– La difficulté de faire valoir son ancienneté.

– Le chantage à la délocalisation malgré les aides publiques du CNC, etc.

Toutes ces contraintes avec pour seule sécurité un système d’assurance chômage régulièrement remis en cause et stigmatisé par les organisations patronales, quand ça n’est pas directement par les pouvoirs publics.

Il est donc urgent de se syndiquer à la CGT qui est à ce jour le seul syndicat défendant les salarié·es de l’audiovisuel, du cinéma et de l’animation à tous les échelons de négociations (les conventions collectives au niveau de la branche et les annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage au niveau interprofessionnel).

Notre organisation syndicale est composée d’ouvrières, ouvriers,
techniciens et techniciennes qui assurent bénévolement son existence.

Il est donc urgent de se syndiquer à la CGT qui est à ce jour le seul syndicat défendant les salarié·es de l'audiovisuel, du cinéma et de l'animation à tous les échelons de négociations

 Néanmoins, adhérer et cotiser, ou tout simplement soutenir financièrement le SPIAC-CGT, nous permet de faire face aux dépenses liées à notre activité syndicale.

Grâce aux cotisations :

– Nous employons de manière permanente notre délégué général, Laurent Blois, ainsi que notre délégué général adjoint, Nicolas Yassinski.

– Nous nous déplaçons à travers la France pour informer tous les salarié·es des avancées obtenues.

– Nous intervenons sur les plateaux et dans les entreprises.

– Nous n’hésitons pas à intenter des procès lorsque cela est nécessaire, nous publions notre (modeste) magazine CLAP dans lequel nous présentons l’état d’avancement des négociations en cours.

– Nous finançons chaque année des stages syndicaux à nos adhérent(e)s qui en font la demande, etc.

Accroître le nombre de nos adhérent·es nous permet donc d’assurer une meilleure représentation des salarié·es et d’imposer le respect des règles à nos employeur·euses qui mesurent très bien les rapports de force dans nos secteurs, comme en témoignent les grèves de 1999, 2007, 2014, 2016 et 2019.

Adhérer ou soutenir le SPIAC-CGT c'est apporter une pierre à la défense et à la promotion de nos métiers.

Adhérer ou soutenir le SPIAC-CGT c’est apporter une pierre à la défense et à la promotion de nos métiers.

Idées reçues
récurrentes

”Je veux rester libre de penser et dire des choses différentes de l’orientation
actuelle du syndicat“

Personne ne demande d’abdiquer sa liberté de penser en se syndiquant, au contraire !

Le débat ouvert, que nous savons mener chez nous, est la condition de la démocratie et de notre renforcement.

Malgré son histoire tumultueuse depuis sa création en 1895, la CGT, et nos syndicats en son sein, sont indépendants
des partis politiques. 

Nous n’avons donc pas peur des débats en notre sein et au sein de la profession, nous les suscitons.

”Un syndicat autonome, c'est moins politique“

Le SPIAC-CGT est complètement autonome pour défendre nos métiers.

Être fédéré nous permet de lutter avec nos collègues comédiens, musiciens, techniciens de la télévision, du spectacle vivant, et être confédéré nous amène à lutter avec l’ensemble des professions et des territoires, en mutualisant nos
moyens.

Par exemple, lors des négociations UNEDIC sur les annexes 8 et 10, seule la CGT a intégré nos syndicats dans sa délégation, ou lorsque la CGT
mène une réflexion au niveau confédéral sur les dangers des nouveaux statuts, type ”auto- entrepreneur“, nous participons avec l’expérience et les combats de nos professions.

”Les syndicats ne font rien pour mon secteur d'activité“

Les syndicats fonctionnent par leurs adhérent·es ! 

Au SPIAC il y a 2 salariés du syndicat, qui portent nos voix dans les negociations, mais ce sont les adhérent·es militant·es (ceux qui veulent bien venir donner leur avis, mettre les mains dans le cambouis) qui décident les actions à mener, les lignes qu’on essaie de bouger etc.

Donc simplement s’il n’y a aucun·e adhérent·e d’un secteur et que personne ne vient demander aux syndicats de faire bouger les lignes sur un sujet en particulier rien ne se passe.

Les avancées se construisent par les adhérent·es militant·es du syndicat. 

Payer une cotisation c’est déjà super, mais il faut aussi penser à participer quand c’est possible !

”Je préfère défendre ma profession“

Le syndicat défend tous les métiers, il est animé par des professionnel·les en activité dans toutes les branches.

On peut être adhérent·e en parallèle d’une association par métier, mais celles-ci ne peuvent participer légalement aux négociations collectives, là où se jouent nos conditions de travail et de
rémunérations, métier par métier.

”Je n’y comprends rien, je ne servirai de toute façon à rien, je vous fais confiance“

Toutes les expériences sont intéressantes, même les militant·es ”aguerri·es“ ont besoin d’un large retour du terrain, de l’enracinement dans la pratique professionnelle,
pour suivre ses évolutions et ses dérives.

”Est-ce risqué de se syndiquer ?“

Si on n’arrive pas avec un autocollant rouge à l’entretien d’embauche, les employeur·euses n’ont pas les moyens de connaître l’appartenance syndicale !

Le fichier des adhérent·es, qui n’est pas public, est protégé. Plus nous sommes d’adhérent·es, moins le risque de blacklistage existe. 

Les militant·es du syndicat
ne connaissent pas plus de difficultés d’emploi que les autres. 

Le délégué général est là pour représenter l’organisation, notamment dans les conflits.

”J’habite loin de Paris“

De plus en plus de professionnel·les habitent et travaillent en région. 

Des sections régionales existent à Lille, Nantes, Poitiers, Montpellier…

Le site et les réseaux sociaux permettent d’avoir les informations à distance. Toutes les réunions du SPiAC-CGT sont accessibles en visio-conférence.

Nous organisons des réunions le plus souvent possible hors de l’Ile de France.

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des questions ?

N'hésitez pas
à nous écrire à

orga@spiac-cgt.org

ou à
téléphoner au

01 42 00 48 49

Pour toutes questions concernant votre adhésion et vos cotisations vous pouvez nous contacter par mail
à l'adresse

treso@spiac-cgt.org

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