Communiqué du SPIAC-cgt, décision du Conseil d’Etat du 24 février 2015.

Ils n’ont pas lâché prise ceux qui ne peuvent se résoudre à l’application de règles communes, partagées, dans la production cinématographique. Et dans un attelage invraisemblable, la Société des Réalisateurs de Films, l’Association des Producteurs de Films Publicitaires, et la CFDT en mal de reconnaissance dans le secteur ont conduit jusqu’au bout une logique d’affrontements alors même que la très grande majorité des organisations de producteurs adhéraient à l’ensemble des dispositions de la Convention collective de la production cinématographique le 8 octobre 2013.
Aujourd’hui nous prenons acte que les Pouvoirs Publics entendent tout mettre en oeuvre pour conforter juridiquement le dispositif conventionnel par la publication sans plus tarder d’un nouvel Arrêté d’extension, c’est également notre volonté de parvenir à travailler sur l’ensemble des questions qui se posent à notre cinématographie dans un climat social apaisé, où les Professionnels du cinéma qui souhaitent pouvoir vivre de leur métier et les organisations qui les représentent ne sont pas suspectés de vouloir la mort du cinéma.
Nous ne faillirons pas à cette démarche soutenue très majoritairement par l’ensemble des Ouvrier(e)s et Technicien(ne)s que nous représentons et que nous tenons informés de l’évolution de ce dossier.

Paris, le 25 février 2015,
Le Conseil National.

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